Régulation groupe froid basse pression flottante

CEE pour la régulation du groupe froid basse pression flottante

Régulation du groupe froid basse pression flottante

Opération :

Ces travaux consistent à installer un système de régulation du groupe froid permettant d’avoir une basse pression flottante.

A savoir :

Ce système de régulation adapte automatiquement la consigne de la pression d’évaporation (basse pression) ou de température en sortie de l’évaporateur en fonction du besoin de froid.

Le système de régulation du groupe froid par une basse pression est très efficace pour réguler la pression des compresseurs et des condenseurs ainsi que la vitesse des pompes et des compresseurs. Il permet de diminuer la consommation de ces éléments de 10 à plus de 30 %. D’autre part, ce système permet d’augmenter la basse pression du compresseur et de réduire des déperditions d’énergie. Le système de régulation réduit également la chaleur latente.

Si l’installation de votre système de régulation du groupe froid est bien réalisée et étudiée à l’avance, elle sera très performante et durable. Pour que les conditions d’installations soient optimales, nous vérifions les qualifications de chaque installateur que nous vous proposons.

Grâce aux Certificats Économie Énergie, vous pouvez obtenir un montant vous permettant de financer ces travaux. En plus de cela, en utilisant ce simulateur, vous bénéficiez d’une assistance gratuite avant, pendant et après vos travaux. Nos équipes sont à votre disposition pour vous accompagner tout au long de vos démarches.

Certificat Économie Énergie Spécial DOM TOM

Certificat Économie Énergie Spécial DOM TOM

Certificat Économie Énergie pour le Secteur Industriel

Plus de détails sur les opérations et le matériel d’isolation en industrie DOM TOM

Règles d'éligibilité pour l'isolation des murs

Cette opération s’applique aux bâtiments industriels existants ou neufs, de surface totale inférieure ou égale à 10 000 m², en France d’outre-mer. Ces travaux consistent à mettre en place un doublage isolant (complexe ou sur ossature) sur mur(s) par l’intérieur ou par l’extérieur. Les conditions de la réalisation de ces travaux sont les suivantes :

  • Mise en place réalisée par un professionnel,
  • La résistance thermique R de l’isolation installée est supérieure ou égale à 1,2 m2.K/W

Nous avons basé nos calculs sur la fiche IND-EN-101.

Règles d'éligibilité pour l'isolation des combles et toitures

Cette opération s’applique aux bâtiments industriels existants ou neufs, de surface totale inférieure ou égale à 10 000 m², en France d’outre-mer. Ces travaux consistent à mettre en place une isolation thermique en plancher de combles, en rampant de toiture ou en toiture terrasse. Les conditions de la réalisation de ces travaux sont les suivantes :

  • Mise en place réalisée par un professionnel,
  • La résistance thermique R de l’isolation installée est supérieure ou égale à 1,2 m2.K/W.

Nous avons basé nos calculs sur la fiche IND-EN-102.

Nos installateurs

Afin de vous garantir une installation de qualité, nous portons attention à nos installateurs professionnels. Nous vérifions régulièrement les compétences et le savoir-faire des professionnels que nous vous conseillons.

Notre service en ligne recherche l’installateur le plus adapté aux travaux demandés. Votre satisfaction est importante, c’est pourquoi nous mettons des moyens en œuvre pour vous garantir un résultat de qualité. Ainsi, vous économisez votre argent et de l’énergie.

Certificat Économie Énergie pour le traitement de l’air

Certificat Économie Énergie pour le traitement de l’air

Certificat Économie Énergie pour le Secteur Industriel

Plus de détails sur les opérations, le matériel et les équipements de traitement de l’air en industrie

Règles d'éligibilité pour un sécheur d'air comprimé à absorption

Cette opération s’applique aux projets industriels. Ces travaux consistent à mettre en place un sécheur d’air comprimé à adsorption utilisant un apport calorifique pour sa régénération. La condition de la réalisation de ces travaux est la suivante : la mise en place est réalisée par un professionnel.

Nous avons basé nos calculs sur la fiche IND-UT-122.

Règles d'éligibilité pour un compresseur d'air basse pression à vis ou centrifuge

Cette opération s’applique aux projets industriels. Ces travaux consistent à mettre en place un compresseur d’air à vis ou d’un compresseur d’air centrifuge de puissance électrique nominale inférieure à 400 kW pour des applications nécessitant de l’air à basse pression (<1.5 bar relatif). La condition de la réalisation de ces travaux est la suivante : la mise en place est réalisée par un professionnel.

Nous avons basé nos calculs sur la fiche IND-UT-120.

Règles d'éligibilité pour un séquenceur de pilotage de production d'air comprimé

Cette opération s’applique aux projets industriels. Ces travaux consistent à mettre en place un séquenceur électronique, avec ou sans optimisation d’énergie, assurant le pilotage des compresseurs d’une centrale de production d’air comprimé. La condition de la réalisation de ces travaux est la suivante : la mise en place est réalisée par un professionnel.

Nous avons basé nos calculs sur la fiche IND-UT-124.

Règles d'éligibilité pour un destratificateur ou brasseur d'air

Cette opération s’applique aux projets industriels. Ces travaux consistent à mettre en place des déstratificateurs ou brasseurs d’air pour l’homogénéisation de la température de l’air d’un local industriel de grande hauteur chauffé par un système convectif et/ou radiatif. Les conditions de la réalisation de ces travaux sont les suivantes :

  • Mise en place réalisée par un professionnel,
  • Les besoins sont déterminés par une note de dimensionnement établie par un professionnel ou un bureau d’étude,
  • Le local industriel équipé de déstratificateurs ou brasseurs d’air a une hauteur sous plafond ou sous faîtage d’au moins 5 mètres,
  • Les déstratificateurs ou brasseurs d’air sont équipés d’un thermostat.

Nous avons basé nos calculs sur la fiche IND-BA-110.

Règles d'éligibilité pour un économiseur sur effluents gazeux d’une chaudière vapeur

Cette opération s’applique aux projets industriels. Ces travaux consistent à mettre en place un économiseur sur les effluents gazeux d’une chaudière de production de vapeur de puissance thermique nominale inférieure à 20 MW et alimentée au gaz naturel ou au GPL. Les conditions de la réalisation de ces travaux sont les suivants :

  • La mise en place est réalisée par un professionnel
  • La mise en place d’un économiseur sur une chaudière de secours n’est pas éligible à l’opération.
  • La preuve de la réalisation de l’opération mentionne la mise en place d’un économiseur de chaleur.

À défaut, la preuve de réalisation de l’opération mentionne la mise en place d’un équipement avec ses marque et référence et elle est complétée par un document issu du fabricant indiquant que l’équipement de marque et référence installé est un économiseur de chaleur.

Nous avons basé nos calculs sur la fiche IND-UT-104.

Des équipes à votre disposition !

En plus d’un service en ligne performant et gratuit, nous mettons nos équipes à votre disposition. Elles assurent le bon déroulement de votre financement par le dispositif des Certificats Économie Énergie.

Notre service client gratuit vous garanti une réponse claire à toute demande. L’assistance dont vous bénéficiez est valable avant, pendant et après vos travaux.

Certificat Économie Énergie pour l’isolation

Certificat Économie Énergie pour l’isolation

Certificat Économie Énergie pour le Secteur Industriel

Plus de détails sur les opérations, le matériel et les équipements de l’isolation en industrie

Règles d'éligibilité pour un matelas pour l’isolation de points singuliers

Cette opération s’applique aux projets industriels. Ces travaux consistent à installer des matelas pour l’isolation de points singuliers dans un réseau de fluide caloporteur. La condition de la réalisation de ces travaux est la suivante : la mise en place est réalisée par un professionnel.

Nous avons basé nos calculs sur la fiche IND-UT-121.

Règles d'éligibilité pour une isolation thermique des parois planes ou cylindriques sur des installations industrielles

Cette opération s’applique aux projets industriels. Ces travaux consistent à mettre en place une isolation thermique performante sur les surfaces planes ou cylindriques d’une installation industrielle fixe utilisant un fluide à des températures comprises entre -60°C et 0°C ou 40°C et 600°C. Sont compris dans l’installation industrielle les équipements de production, de transfert, de stockage ou d’utilisation du fluide. L’isolation des points singuliers couverts par la fiche d’opération standardisée IND-UT-121 et l’isolation par injection ne sont pas éligibles à l’opération. Les conditions de la réalisation de ces travaux sont les suivants :

  • La mise en place est réalisée par un professionnel.

  • Les performances de l’isolation thermique des installations sont déterminées à partir de la résistance thermique simplifiée R’ définie comme le quotient de l’épaisseur d’isolant installée par sa conductivité thermique à respectivement -40, 80, 200 et 450°C selon la plage de température du fluide de l’installation calorifugée.

  • Pour les tuyauteries ou les équipements cylindriques de diamètre inférieur à 508 mm (ou 20’’), la résistance thermique simplifié R’ est supérieure ou égale à :
    – 3,3 m2.K/W pour une température de fluide T telle que -60°C < T ≤ 0°C ;
    – 1,6 m2.K/W pour une température de fluide T telle que 40°C < T ≤ 100°C ;
    – 2,0 m2.K/W pour une température de fluide T telle que 100°C < T ≤ 300°C ;
    – 2,3 m2.K/W pour une température de fluide T telle que 300°C < T ≤ 600°C.

  • Pour les surfaces planes ou les tuyauteries et équipements cylindriques de diamètre supérieur ou égal à 508 mm (ou 20’’), la résistance thermique simplifié R’ est supérieure ou égale à :
    – 4,3 m2.K/W pour une température de fluide T telle que -60°C < T ≤ 0°C ;
    – 2,1 m2.K/W pour une température de fluide T telle que 40°C < T ≤ 100°C ;
    – 2,4 m2.K/W pour une température de fluide T telle que 100°C < T ≤ 300°C ;
    – 2,6 m2.K/W pour une température de fluide T telle que 300°C < T ≤ 600°C.

  • La preuve de réalisation de l’opération mentionne la mise en place d’une isolation sur une installation industrielle avec les marque et référence du matériau isolant ainsi que, selon le cas, la quantité posée en mètres carrés (pour les surfaces planes ou pour les tuyauteries et équipements cylindriques de diamètre supérieur ou égal à 508 mm) ou la longueur isolée en mètres (pour les tuyauteries et équipements cylindriques de diamètre inférieur à 508 mm).

     

  • Les documents justificatifs spécifiques de l’opération sont :
    – un document issu du fabricant précisant les caractéristiques thermiques (conductivité thermique en fonction de la température selon la plage de température du fluide de l’installation calorifugée) de la référence de l’isolant installé ;
    – le calcul établi, daté et signé par le professionnel donnant la résistance thermique simplifiée R’.

Nous avons basé nos calculs sur la fiche IND-UT-131.

Règles d'éligibilité pour un système de mesurage d’indicateurs de performance énergétique

Cette opération s’applique aux projets industriels. Ces travaux consistent à mettre en place un système de mesurage d’Indicateurs de Performance Energétique (IPE) sur un ou plusieurs équipements ou ensembles d’équipements constituant un usage énergétique. La condition de la réalisation de ces travaux est la suivante : la mise en place est réalisée par un professionnel.

Nous avons basé nos calculs sur la fiche IND-UT-134.

Des équipes à votre disposition !

En plus d’un service en ligne performant et gratuit, nous mettons nos équipes à votre disposition. Elles assurent le bon déroulement de votre financement par le dispositif des Certificats Économie Énergie.

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Certificat Économie Énergie pour la récupération de chaleur

Certificat Économie Énergie pour la récupération de chaleur

Certificat Économie Énergie pour le Secteur Industriel

Plus de détails sur les opérations, le matériel et les équipements thermiques en industrie

Règles d'éligibilité pour un récupérateur de chaleur sur un compresseur d'air

Cette opération s’applique aux projets industriels. Ces travaux consistent à mettre en place un système de récupération de chaleur sur un compresseur d’air pour une valorisation sur site en chauffage de locaux, production d’eau chaude sanitaire ou dans un procédé industriel. La condition de la réalisation de ces travaux est la suivante : la mise en place est réalisée par un professionnel.

Nous avons basé nos calculs sur la fiche IND-UT-103.

Règles d'éligibilité pour un brûleur micro-modulant sur chaudière industrielle

Ces travaux consistent à mettre en place un brûleur micro-modulant est réalisé dans des locaux du secteur industriel sur une chaudière industrielle de puissance thermique nominale inférieure à 20 MW. Les conditions de la réalisation de ces travaux sont les suivantes :

  • La mise en place est réalisée par un professionnel.
  • La mise en place d’un brûleur micro-modulant sur une chaudière de secours n’est pas éligible à cette opération.
  • Le brûleur micro-modulant dispose d’une régulation de la teneur en oxygène dans les fumées.

     

  • Le brûleur micro-modulant a une plage de modulation minimale :
    – de un à cinq (de 20% à 100%) par came électronique pour une chaudière de puissance utile nominale inférieure ou égale à 2 MW ;
    – de un à huit (de 12,5% à 100%) par came électronique pour une chaudière de puissance utile nominale supérieure à 2 MW.
  • La preuve de la réalisation de l’opération mentionne la mise en place sur une chaudière industrielle d’un brûleur micro-modulant et des plages de modulation par came électronique de ce brûleur et la mise en place d’une
    régulation de la teneur en oxygène dans les fumées.

     

  • À défaut, la preuve de réalisation de l’opération mentionne la mise en place d’un équipement avec ses marque et référence et elle est complétée par un document issu du fabricant indiquant que l’équipement de marque et référence installé est un brûleur micro-modulant avec la précision des plages de modulation par came électronique de ce brûleur et qu’il comporte une régulation de la teneur en oxygène dans les fumées.
  • Sont éligibles les systèmes :

    TAR humide en circuit fermé ou ouvert (aussi appelées tours de refroidissement), TAR sèche en circuit fermé ou ouvert (aussi appelées aérocondenseurs ou dry-coolers), TAR hybride (humide/sèche) en circuit fermé ou ouvert.

Nous avons basé nos calculs sur la fiche IND-UT-105

Règles d'éligibilité pour un récupérateur de chaleur sur tour aéroréfrigérante

Cette opération s’applique à tous les bâtiments industriels. Le secteur de la production d’électricité est exclu du domaine d’application. Ces travaux consistent à mettre en place un système de récupération de chaleur en amont d’une tour aéroréfrigérante (TAR), pour une utilisation sur site. Les conditions de la réalisation de ces travaux sont les suivantes :

  • La mise en place est réalisée par un professionnel.
    Seuls les systèmes de récupération installés en amont d’une tour aéroréfrigérante définie ci-après sont éligibles à l’opération :

    • TAR humide en circuit fermé ou ouvert (aussi appelées tours de refroidissement) ;
    • TAR sèche en circuit fermé ou ouvert (aussi appelées aérocondenseurs ou dry-coolers) ;
    • TAR hybride (humide/sèche) en circuit fermé ou ouvert.

     

  • La puissance thermique évacuable à la TAR aux conditions de service, notée Qtar, est inférieure ou égale à 7 MW.

     

  • La puissance thermique récupérée par le système, notée Qrécup, est inférieure à 0,7xQtar.

     

  • La preuve de réalisation de l’opération mentionne la mise en place d’un système de récupération de chaleur.

     

  • À défaut, la preuve de réalisation de l’opération mentionne la mise en place d’un équipement avec ses marque et référence et elle est complétée par un document issu du fabricant indiquant que l’équipement de marque et référence installé est un système de récupération de chaleur.

     

  • Les documents justificatifs spécifiques à l’opération sont :

    • la note de calcul, établie par un professionnel ou un bureau d’études, ou la documentation technique du constructeur de la TAR donnant la puissance thermique évacuable Qtar.
    • l’étude thermique des besoins d’énergie et de dimensionnement de l’échangeur, réalisée par un bureau d’études ou un professionnel donnant la puissance thermique récupérée par le système Qrécup.

Nous avons basé nos calculs sur la fiche IND-BA-112.

Règles d'éligibilité pour un traitement d’eau performant sur chaudière de production de vapeur

Cette opération s’applique à tous les bâtiments industriels. Ces travaux consistent à mettre en place un traitement d’eau performant pour l’alimentation de chaudière(s) de production de vapeur d’une chaufferie dont la puissance thermique nominale totale est inférieure à 20 MW. Les conditions de la réalisation de ces travaux sont les suivantes :

  • La mise en place est réalisée par un professionnel.

  • La mise en place d’un traitement d’eau performant sur une chaudière de secours n’est pas éligible à l’opération.

  • Le traitement de l’eau assure une conductivité de l’eau d’appoint après traitement inférieure ou égale à 50 μS/cm.

  • La preuve de la réalisation de l’opération mentionne la mise en place d’un traitement d’eau par osmose inverse ou par déminéralisation sur résines échangeuses d’ions.

     

  • À défaut, la preuve de réalisation de l’opération mentionne la mise en place d’un équipement avec ses marque et référence et elle est complétée par un document issu du fabricant indiquant que l’équipement de marque et référence installé est un traitement d’eau par osmose inverse ou par déminéralisation sur résines échangeuses d’ions.

Nous avons basé nos calculs sur la fiche IND-UT-125.

Règles d'éligibilité pour un chauffage décentralisé performant

Cette opération s’applique à tous les bâtiments industriels. Ces travaux consistent à mettre en place un (ou plusieurs) appareil(s) performant(s) de chauffage décentralisé. Les conditions de la réalisation de ces travaux sont les suivantes :

  • Les appareils produisent et émettent la chaleur directement à l’intérieur du volume à chauffer du bâtiment. Ils sont de type panneau radiant lumineux, tube radiant, aérotherme à condensation ou générateur d’air chaud à condensation.

  • La mise en place d’un appareil radiant pour chauffer un poste de travail isolé dans un bâtiment non chauffé n’est pas éligible.

  • La preuve de réalisation de l’opération mentionne la mise en place de panneaux radiants lumineux ou de tubes radiants ou d’aérothermes à condensation, modulants le cas échéant ou de générateurs d’air chaud à condensation, modulants le cas échéant ainsi que le nombre et la puissance respective de chaque équipement installé.

     

  • À défaut, la preuve de réalisation de l’opération mentionne la mise en place d’équipements avec leurs marques, références et nombre et elle est complétée par un document issu du fabricant indiquant que les équipements de marques et références installés sont des panneaux radiants lumineux ou des tubes radiants ou des aérothermes à condensation, modulants le cas échéant ou des générateurs d’air chaud à condensation, modulants le cas échéant ainsi que la puissance de ces équipements.

     

  • La mise en place est réalisée par un professionnel.

  • La mise en place des appareils de chauffage décentralisé fait l’objet d’une étude préalable de dimensionnement établie, datée et signée par un professionnel ou un bureau d’étude qui identifie les besoins de chauffage selon le type d’occupation des locaux et les températures désirées afin de garantir la maîtrise des consommations d’énergie, précise les dimensions du volume à chauffer et les déperditions du bâtiment, décrit les équipements à mettre en place ainsi que la puissance utile de chauffage à installer.

     

  • L’efficacité énergétique saisonnière (ηs) des panneaux radiants lumineux et des tubes radiants, selon le règlement (UE) n° 2015/1188 de la Commission du 28 avril 2015 est supérieure ou égale à :
    – pour les panneaux radiants lumineux : 88 %
    – pour les tubes radiants : 77 %

  • L’efficacité énergétique saisonnière (ηs) des aérothermes à condensation et des générateurs d’air chaud à
    condensation, selon le règlement (UE) n° 2016/2281 de la Commission du 30 novembre 2016 est supérieure ou
    égale à :

    – pour les aérothermes à condensation modulants et les générateurs d’air chaud à condensation modulants : 78%
    – pour les aérothermes à condensation non modulants et les générateurs d’air chaud à condensation non modulants : 75 %

  • La plage de modulation des appareils modulants commence à une valeur inférieure à 60% de la puissance nominale et couvre jusqu’à 100 % de cette puissance.
    La densité de puissance de chauffage installée dans le bâtiment n’excède pas 400 W/m2.

  • Le document justificatif spécifique à l’opération est l’étude de dimensionnement préalable à la mise en place des appareils de chauffage décentralisé.

Nous avons basé nos calculs sur la fiche IND-BA-117.

Au centimètre près…

Afin de vous garantir des installations de qualité, nous vérifions les compétences de chacun de nos installateurs. Votre satisfaction et la diminution de vos dépenses énergétique sont nos principales préoccupations.

Après avoir simulé les travaux que vous souhaitez réaliser, nous vous proposons des installateurs. Ces professionnels sont très compétents et qualifiés. Nous contrôlons leurs travaux et leur savoir-faire pour vous assurer une installation de qualité, rapide et sans faille.

Moteurs électriques, variateur de vitesse, éclairage…

Moteurs électriques, variateur de vitesse, éclairage…

Certificat Économie Énergie pour le Secteur Industriel

Plus de détails sur les opérations, le matériel et les équipements électrique en industrie

Règles d'éligibilité pour un variateur électronique de vitesse sur moteur asynchrone

Cette opération s’applique aux projets industriels. Ces travaux consistent à mettre en place un système de variation électronique de vitesse (VEV) sur un moteur asynchrone existant dépourvu de ce système, ou neuf de puissance nominale inférieure ou égale à 3 MW. La condition de la réalisation de ces travaux est la suivante : la mise en place est réalisée par un professionnel.

Nous avons basé nos calculs sur la fiche IND-UT-102.

Règles d'éligibilité pour un moteur haut rendement de classe IE2

Cette opération s’applique aux projets industriels. Ces travaux consistent à mettre en place un moteur haut rendement de classe IE2 selon la norme NF EN CEI 60034-30-1. Les conditions de la réalisation de ces travaux sont les suivantes :

  • Mise en place réalisée par un professionnel,
  • La puissance nominale du moteur est supérieure ou égale à 0,12 kW et inférieure ou égale à 1 000 kW.

Nous avons basé nos calculs sur la fiche IND-UT-112.

Règles d'éligibilité pour l'installation de conduits de lumière naturelle

Cette opération s’applique aux bâtiments industriels existants. Ces travaux consistent à mettre en place des conduits de lumière naturelle avec pilotage de l’éclairage électrique en fonction des apports de lumière naturelle. Les conditions de la réalisation de ces travaux sont les suivantes :

  • Mise en place réalisée par un professionnel,
  • Le taux de transmission lumineuse du tube est supérieur ou égal à 95 % pour 1,2 mètres de longueur de tube évalué suivant la méthode définie dans le rapport technique de la Commission Internationale de l’Éclairage CIE 173 : 2012,
  • La résistance thermique de la costière est supérieure ou égale à 0,30 m².K/W, sauf en France d’outre-mer, où elle n’est pas nécessaire.

Nous avons basé nos calculs sur la fiche IND-BA-114.

Règles d'éligibilité pour l'installation d'un moteur asynchrone de classe IE4

Cette opération s’applique aux bâtiments industriels existants. Ces travaux consistent à mettre en place un moteur haut rendement IE4. Il faut que le moteur respecte la norme NF EN CEI 60034-30-1. Les conditions de la réalisation de ces travaux sont les suivantes :

  • Mise en place réalisée par un professionnel,
  • La puissance utile du moteur est supérieure ou égale à 0,12 kW et inférieure ou égale à 1000 kW.

  • La preuve de la réalisation de l’opération mentionne la mise en place d’un moteur asynchrone de classe IE4 selon la norme CEI 60034-30-1 et sa puissance utile.

À défaut, la preuve de réalisation de l’opération mentionne la mise en place d’un équipement avec ses marques et référence et elle est complétée par un document issu du fabricant indiquant que l’équipement de marque et référence installé est un moteur asynchrone de classe IE4 selon la norme CEI 60034-30-1. Ce document précise la puissance utile du moteur.

Nous avons basé nos calculs sur la fiche IND-UT-132.

Règles d'éligibilité pour l'installation d'un système électronique de pilotage d’un moteur électrique avec récupération d’énergie

Cette opération s’applique au secteur industriel. Ces travaux consistent à installer un système électronique de pilotage d’un moteur électrique neuf ou existant permettant de récupérer l’énergie de freinage d’une application industrielle de levage ou de centrifugation. Les conditions de la réalisation de ces travaux sont les suivantes :

  • La mise en place est réalisée par un professionnel.

  • Le système électronique de pilotage avec récupération d’énergie est installé sur un moteur électrique triphasé asynchrone ou synchrone de puissance utile unitaire inférieure ou égale à 1 MW.

  • L’électricité produite par récupération de l’énergie de freinage est autoconsommée en totalité uniquement par le site bénéficiaire de l’opération.

  • La preuve de réalisation de l’opération mentionne l’installation d’un système électronique de pilotage d’un moteur électrique avec récupération d’énergie, pouvant aussi être appelé système de variation électronique réversible à quatre quadrants.

     

  • A défaut, la preuve de réalisation de l’opération mentionne l’installation d’un équipement permettant de récupérer l’énergie de freinage d’une application, avec la marque et la référence de cet équipement. Elle est complétée par un document issu du fabricant indiquant que l’équipement de marque et référence installé est un système électronique de pilotage avec récupération d’énergie.

  • La mise en place d’un système électronique de pilotage d’un moteur électrique avec récupération d’énergie fait l’objet d’une étude de dimensionnement préalable établie, datée et signée par un professionnel ou un bureau d’étude. Cette étude précise les caractéristiques principales de l’installation :
    – Le descriptif de l’application ciblée,
    – Le descriptif des équipements à mettre en place,
    – La puissance du système installé,
    – La puissance utile de chaque moteur piloté par le système,
    – La durée annuelle de fonctionnement de chaque moteur piloté par le système et pour chacun le pourcentage de temps passé en mode frein,

    – La justification de la capacité du réseau électrique interne du site à réutiliser la totalité de l’énergie de freinage produite par le dispositif à tout instant (100% de l’énergie produite est autoconsommée par le site)
    – L’évaluation des économies d’énergie attendues

     

  • Le document justificatif spécifique à l’opération est l’étude de dimensionnement préalable à la mise en place du système électronique de pilotage de moteurs avec récupération d’énergie.
    Les installations provisoires (ex : grue de chantier) sont exclues du périmètre de l’opération.

Nous avons basé nos calculs sur la fiche IND-UT-133.

Règles d'éligibilité pour l'installation d'un système de mesurage d’indicateurs de performance énergétique

Cette opération s’applique au secteur industriel. Ces travaux consistent à installer un système de mesurage d’Indicateurs de Performance Énergétique (IPE) sur un ou plusieurs équipements ou ensembles d’équipements constituant un usage énergétique. Les conditions de la réalisation de ces travaux sont les suivantes :

  • Un système de mesurage se compose de plusieurs éléments : les appareils de mesure, les moyens de relevé et d’historisation et les moyens de calcul et d’affichage des données. Ces éléments peuvent être existants à condition de s’assurer du bon fonctionnement des éléments existants et de leur compatibilité avec les nouveaux éléments du système de mesurage mis en place.
  • Les éléments ajoutés en complément de l’existant doivent répondre aux exigences suivantes :
    – Les nouveaux éléments de mesure (appareils de mesure, moyens de relevé et d’historisation) font l’objet d’une acquisition par le bénéficiaire de l’opération ;
    – Le logiciel de gestion énergétique est acquis par le bénéficiaire ou fait l’objet d’une location ou d’un abonnement. Les outils de bureautique classique type « tableur » ne sont pas considérés comme logiciel de
    gestion énergétique.
  • La puissance nominale d’un équipement ou d’un ensemble d’équipements constituant un usage énergétique faisant l’objet de mesures nécessaires au calcul d’un IPE est strictement inférieur à 10 MW.
  • Les IPE sont calculés sous forme d’une fonction dépendant d’une part de la mesure de la consommation d’énergie d’un équipement ou d’un ensemble d’équipements constituant un usage énergétique et d’autre part de la mesure de la production ou le niveau de service assuré par l’équipement ou l’ensemble d’équipements constituant un usage énergétique sur une même période de temps.
  • La mise en place d’un système de mesurage d’Indicateurs de Performance Energétique fait l’objet avant l’engagement de l’opération d’une étude, préalable à l’intégration du système de mesurage sur le site concerné par
    l’opération, réalisée par un professionnel ou un bureau d’étude. Cette étude identifie les usages énergétiques et décrit les équipements constituant chacun de ces usages. Elle décrit le système de mesurage adapté à chaque usage, les indicateurs de performances pertinentes pour le suivi des équipements, les moyens de mesurage installés (existants et nouveaux) et les modalités d’exploitation et de restitution des données collectées. Elle reprend a minima les étapes 1 à 6 du plan de mesurage et de surveillance défini dans la norme NF EN 17267.

Nous avons basé nos calculs sur la fiche IND-UT-134.

Règles d'éligibilité pour un moto-variateur synchrone à aimants permanents

Cette opération s’applique aux projets industriels. Ces travaux consistent à mettre en place un moto-variateur synchrone à aimants permanents ou à réluctance de puissance nominale inférieure ou égale à 1 MW. La condition de la réalisation de ces travaux est la suivante : la mise en place est réalisée par un professionnel.

Nous avons basé nos calculs sur la fiche IND-UT-114.

Règles d'éligibilité pour une presse à injecter toute électrique ou hybride

Cette opération s’applique aux projets industriels. Ces travaux consistent à mettre en place une presse à injecter toute électrique ou d’une presse à injecter hybride (électrique et hydraulique) ou transformation d’une presse à injecter hydraulique en presse à injecter hybride. La condition de la réalisation de ces travaux est la suivante : la mise en place est réalisée par un professionnel.

Nous avons basé nos calculs sur la fiche IND-UT-129.

Règles d'éligibilité pour un système de transmission performant

Cette opération s’applique aux projets industriels. Ces travaux consistent à mettre en place une transmission par poulie et courroie synchrone (dentée) ou une transmission directe dans le cas d’une pompe, d’un ventilateur ou d’un compresseur en remplacement d’un système de transmission par adhérence (par poulie et courroie plate, trapézoïdale ou striée) existant. La condition de la réalisation de ces travaux est la suivante : la mise en place est réalisée par un professionnel.

Nous avons basé nos calculs sur la fiche IND-UT-127.

Règles d'éligibilité pour le financement d'un moteur de classe IE3 Premium

Cette opération s’applique aux projets industriels. Ces travaux consistent à mettre en place un moteur premium de classe IE3 selon la norme NF EN CEI 60034-30-1. Les conditions de la réalisation de ces travaux sont les suivantes :

  • Mise en place réalisée par un professionnel,
  • La puissance nominale du moteur est supérieure ou égale à 0,12 kW et inférieure ou égale à 1 000 kW.

Nous avons basé nos calculs sur la fiche IND-UT-123.

Règles d'éligibilité pour le financement de luminaires à modules LED

Cette opération s’applique aux projets industriels. Ces travaux consistent à mettre en place un luminaire à modules LED avec ou sans dispositif de gestion de l’éclairage. Les conditions de la réalisation de ces travaux sont les suivantes :

  • Mise en place réalisée par un professionnel,
  • Durée de vie calculée à 25°C ≥ 50 000 heures avec une chute de flux lumineux ≤ 20 % ;
  • Efficacité lumineuse (flux lumineux total sortant du luminaire divisé par la puissance totale du luminaire auxiliaire d’alimentation compris) ≥ 110 lm/W ;
  • Facteur de puissance > 0,9 quelle que soit la puissance ;
  • Conformité à la norme EN 61000-3-2 au niveau harmonique avec un taux de distorsion harmonique sur le courant inférieur à 25 %.

Nous avons basé nos calculs sur la fiche IND-BA-116.

Règles d'éligibilité pour le financement d'un système moto-régulés

Cette opération s’applique aux projets industriels. Ces travaux consistent à mettre en place un système moto-régulé neuf sur une installation fixe existante ou neuve de pompage, de ventilation, de production de froid par compression mécanique ou de compression d’air de puissance nominale inférieure ou
égale à 1 MW.
 Les conditions de la réalisation de ces travaux sont les suivantes :

  • Mise en place réalisée par un professionnel,
  • La mise en place du système moto-régulé comprend a minima soit la mise en place d’un moteur neuf, de classe au
    moins IE3 selon la norme NF EN CEI 600034-30-1 lorsqu’il s’agit d’un moteur asynchrone, soit la mise en place
    d’une application neuve entrainée par le moteur. Elle comprend également l’installation des nouveaux équipements
    suivants :
    – Une transmission par poulie/courroie synchrone (dentée) ou une transmission directe ;
    – Un variateur électronique de vitesse ;
    – Un ou plusieurs capteur(s) nécessaire(s) à la régulation ;
    – Une boucle de régulation ;
    – Un compteur de l’énergie électrique consommée par le système.
    La mise en place du système moto-régulé fait l’objet d’une étude préalable établie, datée et signée par un
    professionnel ou un bureau d’étude définissant les besoins fonctionnels du système et le dimensionnement des
    équipements à mettre en place pour répondre à ces besoins. Cette étude comporte :
    – La raison sociale et l’adresse du bénéficiaire ;
    – L’adresse du chantier si différente de l’adresse du bénéficiaire ;
    – La présentation des finalités du projet, la description des fonctions du système moto-régulé et la description de
    la solution proposée ;
    – Les caractéristiques initiales de l’installation en place :

    • marque, référence et puissance du moteur et du variateur électronique de vitesse s’il existe ;
    •  marque, référence et puissance de la pompe, du ventilateur, du groupe de production de froid ou du
      groupe de production d’air comprimé ;
    • type de transmission en place ;
      – Les préconisations techniques du système moto-régulé à mettre en place :
    • puissance des éléments (moteur, variateur électronique de vitesse, pompe, ventilateur, groupe de
      production de froid ou groupe de production d’air comprimé) à mettre en place ;
    • descriptif du type de transmission performante à mettre en place ;
    • descriptif et fonction du ou des capteur(s) nécessaire(s) à la régulation (ex : mesure d’intensité, de
      température, de débit, de puissance, de tensions…) ;
    • type de compteur d’énergie électrique consommée.
      – Le principe de fonctionnement de la boucle de régulation et le descriptif de l’intervention sur cette boucle
      (description de la boucle de régulation, typologie, grandeurs régulées et capteurs utilisés).
      La puissance du système moto-régulé après l’opération est inférieure ou égale à la puissance du moteur de
      l’installation existante, dans le cas d’un remplacement.
      La preuve de la réalisation de l’opération mentionne la mise en place d’un système moto-régulé tel que décrit dans
      l’étude préalable comprenant :
      – Les marque et référence du moteur et sa puissance et/ou celles de l’application entraînée par le moteur
      (pompe, ventilateur, compresseur de froid ou compresseur d’air neufs) ;
      – les marque et référence du variateur électronique de vitesse installé ;
      – la mise en place d’une transmission poulie/courroie synchrone (dentée) ou d’une transmission directe ;
      – la mise en place des capteurs nécessaires à la régulation et leurs fonctions (intensité, température, débit,…) ;
      – la mise en place d’un compteur de l’énergie électrique consommée sur le système moto-régulé.
      Le document justificatif spécifique à l’opération est l’étude préalable à la mise en place du système moto-régulé.

Nous avons basé nos calculs sur la fiche IND-UT-136.

Notre service en ligne

Les montants dispensés par les CEE ne sont pas si faciles à calculer. C’est pourquoi, nous avons créé un logiciel qui analyse les paramètres du lieu de travaux et estime ce montant. Plus besoin de perdre votre temps et votre énergie en recherchant !

Notre simulateur fait le travail à votre place. De plus, si vous avez des questions ou des incompréhensions, n’hésitez pas à contacter notre service d’assistance. Ce service est gratuit, nous tenons à ce que vous soyez satisfait et que vous puissiez économiser de l’énergie.