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Bâtiments industriels existants.
Mise en place de conduits de lumière naturelle avec pilotage de l’éclairage électrique en fonction des apports de lumière naturelle.
Le taux de transmission lumineuse du tube est supérieur ou égal à 95 % pour 1,2 mètres de longueur de tube évalué suivant la méthode définie dans le rapport technique de la Commission Internationale de l’Éclairage CIE 173 : 2012.
La résistance thermique de la costière est supérieure ou égale à 0,30 m².K/W, sauf en France d’outre-mer, où elle n’est pas nécessaire.
La mise en place est réalisée par un professionnel.
La preuve de la réalisation de l’opération mentionne :
À défaut, la preuve de réalisation de l’opération mentionne la mise en place d’un ou plusieurs équipements avec leur marque et référence, la section des équipements installés et le pilotage de l’éclairage électrique en fonction des apports de lumière naturelle et elle est complétée par un document issu du fabricant ou d’un organisme établi dans l’Espace économique européen et accrédité selon la norme NF EN 45011 par le Comité français d’accréditation (COFRAC) ou tout autre organisme d’accréditation signataire de l’accord européen multilatéral pertinent pris dans le cadre de European cooperation for Accreditation (EA), coordination européenne des organismes d’accréditation.
Ce document mentionne que l’équipement de marque et référence installé est un conduit de lumière naturelle, avec ses caractéristiques : taux de transmission lumineuse du tube et résistance thermique de la costière. Il indique que les performances lumineuses sont déterminées conformément au rapport technique de la Commission Internationale de l’Éclairage CIE 173 : 2012.
20 ans.
S est la somme des sections de la totalité des tubes des conduits de lumière naturelle installés, en m².
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Industrie.
Mise en place d’un moteur haut rendement de classe IE2 selon la norme NF EN CEI 60034-30-1.
Est exclu de l’opération standardisée tout moteur IE2 défini par le règlement (CE) n°640/2009 de la Commission du 22 juillet 2009, modifié par le règlement (UE) n°4/2014 de la Commission du 6 janvier 2014, de puissance nominale comprise entre 0,75 kW inclus et 375 kW inclus.
La mise en place est réalisée par un professionnel.
La puissance nominale du moteur est supérieure ou égale à 0,12 kW et inférieure ou égale à 1 000 kW.
La preuve de la réalisation de l’opération mentionne la mise en place d’un moteur haut rendement de classe IE2 selon la norme NF EN CEI 60034-30-1 et sa puissance nominale.
À défaut, la preuve de réalisation de l’opération mentionne la mise en place d’un équipement avec ses marque et référence et elle est complétée par un document issu du fabricant indiquant que l’équipement de marque et référence installé est un moteur haut rendement de classe IE2 selon la norme NF EN CEI 60034-30-1. Ce document précise la puissance nominale du moteur.
15 ans pour un moteur de puissance nominale inférieure ou égale à 15 kW.
20 ans pour un moteur de puissance nominale supérieure à 15 kW.
P est la puissance nominale du moteur en kW.
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Industrie.
Mise en place d’un système de variation électronique de vitesse (VEV) sur un moteur asynchrone existant dépourvu de ce système, ou neuf de puissance nominale inférieure ou égale à 3 MW.
Est exclu de l’opération standardisée tout moteur IE2 défini par le règlement (CE) n°640/2009 de la Commission du 22 juillet 2009 modifié par le règlement (UE) n°4/2014 de la Commission du 6 janvier 2014, acheté :
La mise en place est réalisée par un professionnel.
La preuve de la réalisation de l’opération mentionne la mise en place d’un système de variation électronique de vitesse.
À défaut, la preuve de réalisation de l’opération mentionne l’installation d’un équipement avec ses marque et référence et elle est complétée par un document issu du fabricant indiquant que l’équipement de marque et référence installé est un système de variation électronique de vitesse.
15 ans.
La puissance nominale à retenir est celle figurant sur la plaque signalétique du moteur ou à défaut celle indiquée sur un document issu du fabricant du moteur.
Lorsque l’opération concerne l’équipement de plusieurs moteurs de caractéristiques strictement identiques, la puissance nominale à prendre en compte dans le calcul est la somme, par type d’application, des puissances nominales de chaque moteur équipé de variateur électronique de vitesse.
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Industrie existant (hors bureaux).
Mise en place de tubes à LED de diamètre T8 à éclairage hémisphérique, de 0,6 m, 1,2 m ou 1,5 m, avec ou sans dépose du ballast.
Les tubes remplacent uniquement des tubes fluorescents de type T8.
Les tubes à LED respectent les critères suivants :
La mise en place est réalisée par un professionnel.
La preuve de la réalisation de l’opération mentionne :
Le document justificatif spécifique de l’opération est un document issu du fabricant indiquant que les tubes à LED de marque et référence mis en place respectent, en les reprenant, l’ensemble des critères exigés dans les conditions ci-dessus relatives aux critères des tubes à LED.
5 ans.
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Industrie.
Mise en place d’un système de condensation frigorifique sur une installation frigorifique permettant d’avoir une faible différence de température ∆T entre le fluide frigorigène à la pression de condensation et le medium de refroidissement (air ou eau) en entrée du condenseur.
Par système de condensation, on entend « condenseur plus tour », « condenseur seul » ou « tour seule » si celle-ci alimente un condenseur frigorifique à eau.
La mise en place est réalisée par un professionnel.
Les systèmes de condensation éligibles sont :
1/ système de condensation par rapport à l’atmosphère :
– condenseur à air sec ;
– condenseur à eau plus aéroréfrigérant à air sec (adiabatique ou non).
– condenseur évaporatif ;
– condenseur à eau plus tour ouverte (hybride ou non) ;
– condenseur à eau plus tour fermée (hybride ou non).
2/ système de condensation à eau « seul » (sur nappe ou cours d’eau) avec un ∆T inférieur ou égal à 8°C.
La preuve de la réalisation de l’opération mentionne la mise en place d’un système de condensation sur une installation frigorifique et la valeur de ∆T.
À défaut, la preuve de réalisation de l’opération mentionne la mise en place d’un équipement avec ses marque et référence et elle est complétée par un document issu du fabricant indiquant que l’équipement de marque et référence installé est un système de condensation sur une installation frigorifique. Ce document précise la valeur de ∆T.
15 ans.
Mise en place d’un système de condensation à eau seul (sur nappe ou cours d’eau) permettant une différence ∆T entre la température de condensation du fluide frigorigène et celle de l’eau en entrée du condenseur, inférieure ou égale à 8°C :
Mise en place d’un condenseur à air sec (adiabatique ou non) ou d’un condenseur à eau et d’un aéroréfrigérant à air sec (adiabatique ou non) permettant une différence ∆T entre la température de condensation du fluide frigorigène et celle de l’air sec, inférieure ou égale à 12°C :
Mise en place d’un condenseur évaporatif (hybride ou non) ou d’un condenseur à eau et d’une tour aéroréfrigérante ouverte (hybride ou non) ou d’un condenseur à eau et d’une tour aéroréfrigérante fermée (hybride ou non) permettant une différence ∆T entre la température de condensation du fluide frigorigène et celle de l’air au bulbe humide, inférieure ou égale à 22°C :
En cas d’utilisation d’un fluide frigorigène à « glissement », la température de condensation du fluide à retenir est celle au point de rosée.
Pour une valeur de ∆T du système de condensation ne figurant pas dans les tableaux ci-dessus, il convient de retenir la valeur de ∆T immédiatement supérieure.
La puissance électrique nominale à retenir est celle figurant sur la plaque signalétique de l’installation frigorifique ou, à défaut, celle indiquée sur un document issu du fabricant.
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Industrie : activité correspondant à la zone d’implantation du groupe de production de froid.
Mise en place d’un système de récupération de chaleur sur un groupe de production de froid afin de chauffer ou préchauffer un fluide caloporteur (e.g. de l’eau), sur site.
Est exclu de l’opération tout système de récupération de chaleur sur un groupe de production de froid afin de chauffer ou préchauffer de l’air.
Cette opération n’est pas cumulable avec les opérations relevant de la fiche standardisée IND-BA-112 si le groupe de production de froid est connecté à la tour aéroréfrigérante.
La mise en place d’un système de récupération de chaleur sur un groupe de production de froid de secours ou sur une pompe à chaleur n’est pas éligible à cette opération.
La mise en place est réalisée par un professionnel.
La fiche s’applique au groupe de production de froid par compression mécanique utilisant un fluide frigorigène, circulant en circuit fermé, dont la température d’évaporation est inférieure ou égale à 18°C.
La mise en place du système de récupération de chaleur fait l’objet d’une étude préalable de dimensionnement établie, datée et signée par un professionnel ou un bureau d’étude. Elle vise à évaluer les économies d’énergie attendues, via la chaleur récupérée, au regard des installations de production de froid et des besoins de chaleur mais également à démontrer la bonne adaptation entre les besoins de froid et la production de froid puis entre le système de récupération de chaleur et les besoins de chaud en présentant les calculs et leurs hypothèses.
L’étude de dimensionnement définit une période représentative des besoins de chaleur et des besoins de froid qui ne peut pas être inférieure à 24h et qui considère les usages, a minima, sur les deux dernières années, les arrêts de saisonnalité ainsi que de la concomitance des besoins industriels de froid et des besoins de chaleur. Il en est déduit sur cette base une durée annuelle.
L’étude de dimensionnement comporte les éléments suivants :
a) l’identification de l’opération :
i. la raison sociale et l’adresse du bénéficiaire ;
ii. l’adresse du chantier si différente de l’adresse du bénéficiaire.
b) la description des caractéristiques techniques des équipements suivants :
i. des installations de production de froid : marques, références, usage(s) du froid, puissances frigorifique (évaporateurs) et électrique (compresseurs) installées, température d’évaporation du fluide frigorigène,
durées de fonctionnement annuel des compresseurs, sur la période représentative ;
ii. des systèmes de récupération de chaleur : équipements (condenseur, désurchauffeur et/ou refroidissement d’huile), pompes ou ventilateurs de distribution, longueur du circuit de distribution,
éventuels stockages, etc. accompagné d’un schéma simplifié de l’installation, marques et références des systèmes, usage(s) de la chaleur, puissance, température, durées annuelles d’utilisation de la chaleur sur
la période représentative.
La description des équipements précisera les équipements existants avant l’étude de dimensionnement et ceux qui sont mis en place dans le cadre de l’opération.
c) la justification et le dimensionnement de l’opération :
i. la justification de l’usage et de la puissance installée du système de production de froid au regard des besoins en froid ainsi que de la durée moyenne de fonctionnement annuel des compresseurs frigorifiques,
sur la période représentative dans le cas de compresseurs existants et sur la durée moyenne prévisionnelle dans le cas de compresseurs neufs ;
ii. la nature des besoins de chaleur à couvrir pour les usages : procédés, eau chaude sanitaire ou chauffage des locaux ;
iii. pour chacun des besoins de chaleur à couvrir :
– la puissance thermique à couvrir,
– la température demandée,
– la durée annuelle du besoin de chaleur sur la base de la période représentative.
Ainsi, pour les besoins de chaleur, l’étude précise :
– la somme des puissances thermiques unitaires à couvrir,
– la moyenne pondérée des durées annuelles des besoins unitaires affectée des puissances respectives (c’est-à-dire (d1*P1 +…+ dn*Pn)/(P1+…+Pn)).
iv. la simultanéité des besoins en froid et des besoins de chaleur sur la période représentative ;
v. la justification du bon dimensionnement du système de récupération de chaleur au regard des besoins de chaleur à couvrir et de la simultanéité avec les besoins en froid, qui précise en particulier :
– la puissance maximale de réjection de l’installation de production de froid ;
– Pdéjà récupérée en kW (thermique) qui est la puissance thermique déjà récupérée par un ou plusieurs systèmes de récupération de chaleur sur le groupe de production de froid concerné par l’opération ;
– la puissance thermique du système de récupération de chaleur ;
– Précupérée en kW (thermique) qui est le minimum entre la puissance thermique du système de récupération de chaleur et la somme des puissances thermiques à couvrir ;
– Pcompresseur(s) en kW (électrique) qui est la somme des puissances électriques nominales indiquées sur les plaques du ou des compresseur(s) raccordé(s) au système de récupération de chaleur ou à défaut celles
indiquées sur un document issu du fabricant.
vi. une évaluation des économies d’énergie attendues, sur une période annuelle.
La preuve de la réalisation de l’opération mentionne la mise en place d’un système de récupération de chaleur sur un groupe de production de froid et la puissance du système de récupération de chaleur en kW thermique.
À défaut, la preuve de réalisation de l’opération mentionne la mise en place, sur un groupe de production de froid, d’un équipement avec ses marque et référence et elle est complétée par un document issu du fabricant indiquant que l’équipement de marque et référence installé est un système de récupération de chaleur et mentionnant sa puissance en kW thermique.
Le document justificatif spécifique à l’opération est l’étude de dimensionnement préalable à la mise en place du système de récupération de chaleur répondant aux attendus ci-dessus.
Dans le cas où la récupération de chaleur nécessiterait l’installation de plusieurs systèmes de récupération de chaleur, la fiche sera utilisée à plusieurs reprises.
14 ans
Avec, les données suivantes déterminées dans l’étude de dimensionnement préalable, notamment dans ses parties bi, bii, ciii, cv :
– La durée annuelle d’utilisation de la chaleur récupérée (D) est le minimum entre la moyenne pondérée des durées annuelles des besoins unitaires affectée des puissances respectives (c’est-à-dire (d1*P1 +…+
dn*Pn)/(P1+…+Pn)) et la durée moyenne de fonctionnement annuel des compresseurs frigorifiques ;
– La puissance thermique récupérée (Précupérée) est le minimum entre la puissance thermique du système de récupération de chaleur et la somme des puissances thermiques à couvrir ;
– La puissance thermique déjà récupérée (Pdéjà récupérée) est la puissance thermique déjà récupérée par un ou plusieurs systèmes de récupération de chaleur sur le groupe de production de froid concerné par l’opération ;
– La puissance électrique des compresseurs (Pcompresseur(s)) est la somme des puissances électriques nominales indiquées sur les plaques du ou des compresseur(s) raccordé(s) au système de récupération de chaleur ou, à défaut, celles indiquées sur un document issu du fabricant du ou des compresseur(s).
Nota 1 : Lorsque le groupe de production de froid est une installation frigorifique à deux étages, alors :
– Pour des compresseurs compound (un (des) compresseur(s) assurant les 2 niveaux de pressions d’aspiration) ou booster (un (des) compresseur(s) basse pression (BP) et un (des) compresseur (s) haute pression (HP)) alors Pcompresseur(s) est la somme des puissances électriques nominales des compresseurs BP et HP ;
– Pour des compresseurs en cascades (2 fluides frigorigènes différents et/ou présence d’un échangeur intermédiaire faisant évaporateur de la partie HP et condenseur de la partie BP) alors Pcompresseur(s) est la
somme des puissances électriques nominales du (des) seul(s) compresseur(s) HP.
Nota 2 : Si Précupérée excède la limite imposée dans le tableau ci-dessus ((2 x Pcompresseur(s)) – Pdéjà récupérée), le calcul du montant des certificats d’économies d’énergie est effectué en considérant que Précupérée est égale à ((2 x Pcompresseur(s)) – Pdéjà récupérée).
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